BAR

Le Comptoir Général

BAR

Le BarberShop

Le quartier de l'ESCP regorge de coins sympa, le Barbershop est l'un d'eux. Loin d'être aussi insolite que Le Comptoir Général, c'est tout de même un repère qui vaut le détour.

Des expos éphémères de street art décorent les murs (tu peux même acheter les œuvres des jeunes artistes à des prix raisonnables histoire d'undersceper ta coloc').  Tous les week-ends, des DJs viennent y mixer des sons hip-hop funk et soul, souvent pour des vernissages d’expos.

Info-cloppeur : le Barbershop jouit d'une terrasse très sympa, chauffée en hiver.

Adresse : 68 Avenue de la Répubique 

Téléphone : 09 81 11 12 85

EXPO

Le Pavillon de l'Arsenal

Le pavillon de l'arsenal te fait découvrir Paris, ses secrets, son architecture, son histoire et même son avenir grâce à des expositions et des visites guidées (gratuites les samedis et dimanches à 15h).

Le dimanche un food truck s'y installe et sert des brunch délicieux qui changent chaque mois. En janvier, c'est la Caravane dorée qui va te régaler ! 

Un endroit pas comme les autres à découvrir très vite !

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CLUBBING

Mon Incroyable Vendredi Soir

Rendez-vous compte, ce vendredi à Paris, nous avons l'honneur, et à la fois le malheur, d'accueillir le même soir, trois des plus grands noms de l'histoire de la techno, dans trois endroits différents : Derricks May au Rex ; Jeff Mills à La Machine, et Ricardo Villaobos au Cabaret Sauvage. 

Derrick May et Jeff Mills sont tous deux originaires de Detroit la capitale, et le lieu de naissance de la Techno.

La musique Techno émerge à la fin des années 1980 dans un contexte de ville anciennement industrielle qui se transforme en ville fantôme. Detroit ne parvient pas à rebondir après son heure de gloire dépassée.

C'est ce contexte de froideur métallique, de bruits et de paysages industriels qui a été la source d'inspiration musicale de ce courant.

 Derrick May crée son label Transmat en 1986 et commence à se faire connaître dès 1987. Il fait partie des pionniers, avec Juan Atkins, et Kevin Sanderson.

A cette époque Jeff Mills commence seulement en tant que DJ mais il ne se lance dans la production musicale qu'en 1992, et fait à ce titre fait partie de la seconde génération avec des gens comme Robert Hood, Carl Craig, ou Blake Baxter. 

Une deuxième génération qui a par la suite énormément collaboré avec les artistes pionniers de Berlin, comme Moritz Von Oswald, ou le label Trésor. 

Enfin, présentons Ricardo Villalobos, cette énergumène, infatigable, à moitié autiste tellement sa musique lui colle à la peau. Un vrai phénomène. Né d'un père chilien et d'une mère allemande, il passe son enfance en Allemagne, et est ainsi baigné dans la musique électronique dès ses débuts à Berlin. Il décide de relancer dans ce mouvement dans les années 1993-1994, le succès commence à peine deux années plus tard. Il est à la fois magicien et fin musicien:  des instruments acoustiques sont souvent intégrés à ses productions, les percussions ou encore les rythmes sud-américains sont des sources d'inspiration pour Ricardo. Ses tracks sont réputées comme longues, répétitives, et mêlent à la fois du jazz, des instruments traditionnels, des voix, et des rythmes très techno. Il est, avec le label Perlon, à l'origine des sons caractérisés comme Techno/Minimal. Un magicien à voir derrière ses platines, ne jouant presque que des vinyles !

Jeff Mills - The Bells 

Derrick May - Strings of Life

Ricardo Villalobos - Andruic